Comme quoi il vaut mieux habiter sur une colline à Lyon que sur un polder en Hollande.
Interpellés par cette évidence, nous, artistes du piémont, décidons de questionner nos comportements face à cette annonce et de nous préparer.
Dans un premier temps, nous sommes partis récolter des signes à l’océan, là où pour l’instant les eaux se trouvent ; les signes rapportés deviendront l’exposition de bâches photographiques “Coudre l’espace”.
Puis nous décidons d’amplifier ce premier geste artistique, affiché et muet, par un second, vivant et gesticulé, “La Montée des eaux”.